Commentaires et critiques
(Marc Bernelas) |
Cantiques, odes, louanges, incantations, litanies:la poésie de Théo Crassas est une messe, souvent baroque, parfois païenne, où il célèbre la Création. Et la Femme, reine ou déesse, sorcière peut-être, y occupe une place de choix. Qu'elle soit mère ou amante, elle y est tout à la fois idéale et charnelle, absolument charnelle. En témoigne à nouveau le présent ouvrage, principalement dans sa partie «Tourbillons de Colibris» où le poète titre ainsi ses textes: à la Munificente, à la Rieuse, à l'Hyperbolique, etc. Ce qu'il fit déjà dans «Palais de Rubis»: à Ruth, à la Profonde, à la Chaleureuse, etc. Des figures archétypales de La Femme où s'envisage toute la volupté terrestre. |
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Marc Bernelas |
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